Pour observer un champ d’énergie, le moyen le plus simple consiste à se détendre, allongé dans l’herbe, par une belle journée de soleil et à contempler le ciel. Au bout d’un moment, vous verrez de minuscules globules d’orgone se trémousser dans le bleu, comme d’infimes ballons blancs. Parfois, un petit point noir y apparaît une seconde ou deux et s’efface, laissant une légère trace de son passage.
En observant davantage et en élargissant votre vision, vous constaterez que tout le champ pulse à un rythme synchrone.
- S’il fait soleil, les petites boules d’énergie brilleront et se déplaceront très vite.
- Si le ciel est nuageux, elle seront translucides, inférieures en nombre et moins véloces.
- Si la ville baigne dans le brouillard, elle sont sombres, lentes à se déplacer et moins nombreuses encore. Elles sont déchargées.
Portez maintenant votre regard sur la cime des arbres se découpant sur le ciel. Vous pourrez voir, autour une brume verte. Si vous observez avec attention, vous verrez les globules blancs, à l’orée du nuage vert. Cessant de s’agiter, ils se coulent dans l’aura de l’arbre où ils disparaissent. Apparemment, l’aura a absorbé les petits globules. Cette couleur verte apparaît au printemps, à l’époque des premières feuilles et aussi en été. Au tout début du printemps, cette aura prend, autour de la plupart des essences, une teinte rose-rougeâtre, la couleur des bourgeons.